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Le décompte final de l’année 2018 vient d’être publié par les Notaires de France. Avec 970000 transactions dans l’ancien en province, le nombre de ventes enregistrées en fin d’année dernière est similaire à celui constaté l’année précédente (968000 transactions en décembre 2017). Finalement, le cap symbolique du million de ventes immobilières n’aura donc pas été atteint.

Peut-on, d’ores et déjà, anticiper l’atteinte d’un plateau chronique perché à une altitude de 970000 transactions, et imaginer une stabilisation pérenne de tels volumes sur les mois voire les années à venir ? En immobilier comme ailleurs, il n’existe plus guère de marchés modélisables sur le très long terme. Souligne le communiqué

Les prix des appartements

Quant aux prix de l’immobilier, on retient que dans la majorité des grandes villes de province les prix augmentent. Toutefois, cette tendance ne concerne pas toutes les agglomérations, en particulier Nancy, Orléans ou Grenoble affichent des baisses pouvant aller jusqu’à 7 % sur un an. À Rennes et Lyon, les prix continuent de progresser significativement (respectivement 6 % et 8 %). A Metz, les appartements ont augmenté de 1,4%.

Crédit image: Notaires de France

Les prix des maisons

Dans les principales agglomérations la tendance est mitigée sur le marché des maisons anciennes. Les villes de Lille, Bordeaux, ou encore Nantes voient leur prix augmenter de 4 % à 8 %. Dans le Grand Est, Metz affiche une hausse remarquable de 14,9% des prix des maisons anciennes ! A Nancy, ces prix restent stables.
A l’inverse, d’autres agglomérations comme de Angers ou Rouen, enregistrent des baisses.

Crédit photo: Notaires de France

 

Source: Notaires de France